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 Informations sur l'asparthame

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MessageSujet: Informations sur l'asparthame   Informations sur l'asparthame EmptyMer 27 Juil 2005, 16:34

L’ASPARTAME – LE TUEUR SILENCIEUX
Par Laurie Moser (traduction du Sonology News No15)


CONFÉRENCE MONDIALE SUR L’ENVIRONNEMENT, LA FONDATION DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES ET LA FDA (Food and Drug Administration)

J’ai passé plusieurs jours lors de la Conférence Mondiale sur l’Environnement, à donner des conférences sur l’aspartame vendu sous les marques « Nutra Sweet », « Equal » et « Spoonful ».

L’EPA (L’Agence pour l’Environnement) a annoncé dans son discours-programme, qu’il y a une épidémie de sclérose en plaques et de lupus systémique et qu’ils ne comprenaient pas quel virus faisait sévir ces maladies à travers les États-Unis. J’ai expliqué que j’étais justement là pour donner des conférences à ce sujet.

Quand la température de l’aspartame dépasse les 86oF, l’alcool méthylique ou esprit des bois contenu dans l’aspartame, se transforme en formaldéhyde puis en acide formique qui, à son tour, cause l’acidose métabolique (l’acide formique est le poison administré par les piqûres de fourmis rouges).

L’intoxication au méthanol reproduit les symptômes de la sclérose en plaques, de là, des erreurs de diagnostic parmi les diagnostics de sclérose en plaques.

La sclérose en plaques n’est pas mortelle, l’intoxication au méthanol l’est. Pour le cas du lupus systémique, ce que nous observons c’est qu’il s’est presque autant répandu que la sclérose en plaques, particulièrement chez les consommateurs de Coca-cola light (Diet Coke) et de Pepsi light (Diet Pepsi). De plus dans les cas de l’intoxication au méthanol, les victimes en boivent généralement 3 à 4 canettes de 12oz. par jour, et certains encore plus.

Dans le cas de lupus systémique, ce qui est déclenché par l’aspartame, la victime ne sait généralement pas que c’est l’aspartame le coupable. La victime continue sa consommation, aggravant le lupus à tel point que parfois leur vie est menacée. Quand nous éliminons l’aspartame de la consommation des patients, les personnes souffrant de lupus deviennent généralement asymptomatiques.

Malheureusement, nous ne pouvons enrayer la maladie. D’un certain côté, ceux parmi lesquels on a diagnostiqué une sclérose en plaques (alors qu’en réalité ce qu’ils ont n’est qu’une intoxication au méthanol), la plupart des symptômes disparaissent. Nous avons vu des cas où leur vision s’est rétablie ainsi que l’ouie. Et il en est de même pour les cas d’acouphène.

Lors d’une conférence je déclarais : « Si vous consommez de l’aspartame (Nutra Sweet, Equal, Spoonful, etc…) et que vous souffrez de symptômes fibromyalgiques, de spasmes, de lancements, d’engourdissements dans les jambes, de crampes, vertiges, nausées, maux de tête, acouphène, douleurs articulaires, dépressions, crise d’angoisse, discours incohérent, vision trouble, ou pertes de mémoire, vous avez probablement la maladie de l’aspartame.

Les gens sursautaient au cours de cette conférence, disant : « C’est exactement ce que j’ai. Est-ce réversible? » Cette maladie sévit. Certains des intervenants à ma conférence souffraient eux-mêmes de ces symptômes.

Dans une conférence à laquelle l’Ambassadeur de l’Ouganda assistait, il nous a dit que dans l’industrie du sucre chez eux, on ajoute de l’aspartame! Il a poursuivi en disant que le fils de l’un des leaders de l’industrie du sucre ne peut plus marcher et que c’est en partie dû à l’usage de ce produit. Nous avons là un problème grave.

Un inconnu vint même trouver le Dr. Espisto (l’un de mes intervenants) et moi-même et dit : « Pouvez-vous me dire pourquoi tant de personnes semblent avoir contacté la sclérose en plaques? ».

Lors d’une visite dans un hôpital, une infirmière affirma que chez six de ses amis, qui sont tous de grands buveurs de coca-cola light, on avait diagnostiqué la sclérose en plaques. Cela dépasse la coïncidence.

Le problème est là. Il y a eu des séances au Congrès, au début, quand l’aspartame fut introduit dans 100 produits différents comme substance sucrante. Depuis cette séance initiale, il y a eu deux autres mais elles n’ont servi à rien.

Rien n’a été fait, les lobbies de l’industrie pharmaceutique et chimique ont le bras très long. Maintenant il existe plus de 5 000 produits contenant cette substance chimique (…).

À l’époque de cette première audience, plusieurs personnes perdaient la vue. Le méthanol contenu dans l’aspartame se transforme en formaldéhyde dans la rétine de l’œil. Le formaldéhyde est classifié dans le même groupe de drogues que le cyanure et l’arsenic, poisons mortels!

Malheureusement il met plus de temps à vraiment tuer, mais il tue des gens et cause toutes sortes de troubles neurologiques. L’aspartame modifie la chimie du cerveau, elle cause de sévère crise. Ce produit modifie le taux de dopamine dans le cerveau.

Imaginez l’effet de cette drogue chez les patients atteints de maladie de Parkinson. Cette drogue cause aussi des dommages au niveau des naissances. Il n’y a absolument aucune raison de consommer ce produit. Ce n’est pas un produit diététique!

Le rapport du congrès dit : « Ce produit crée chez le consommateur un besoin maladif d’hydrates de carbone et les fait grossir ». Le Dr. Roberts a spécifié que lorsqu’il faisait arrêter l’aspartame à ses patients, ils perdaient en moyenne 19 livres par personne. Le formaldéhyde s’accumule dans les cellules graisseuses, particulièrement dans les hanches et les cuisses.

L’aspartame est particulièrement mortel pour les diabétiques. Tout médecin sait l’effet qu’aurait de l’alcool de bois sur un diabétique. Nous trouvons des médecins qui croient que certains de leurs patients font de la rétinopathie, quand en fait, c’est l’aspartame qui est en cause.

L’aspartame rend le niveau de sucre dans le sang incontrôlable, mettant ainsi beaucoup de patients dans le coma. Malheureusement beaucoup d’entre eux sont morts. Des personnes nous disaient, lors de la Conférence de l’Ordre des Médecins Américain, qu’ils avaient des proches qui sont passés de produits à la saccharine à des produits contenant de l’aspartame et que certains étaient tombés dans le coma. Leurs médecins ne pouvaient maîtriser le niveau de sucre dans leur sang. Ainsi les patients souffraient de sévères pertes de mémoire, voire tombaient dans le coma et mouraient.

La perte de mémoire est due au fait que l’acide aspartique et la phénylalanine sont des neurotoxiques, ils constituent des protéines (…), qui, alors passent la barrière sanguine du cerveau et détériorent les neurones.

Le Dr. Russell Blaylock, neurochirurgien, a déclaré : « Ces ingrédients stimulent le cerveau à mourir, causant des dommages de degrés variés au cerveau. » Le Dr. R. Blaylock a écrit un livre intitulé « Excito-Toxines : Le goût qui tue» (Health Press 1-800-643-2665)

Le Dr. H.J. Roberts, diabétique, spécialiste et expert mondial de l’empoisonnement par l’aspartame, a lui aussi écrit un livre, qui est intitulé : « Défense contre la maladie d’Alzheimer » (1-800-814-9800). Dr Roberts y raconte comment l’intoxication à l’aspartame aggrave la maladie d’Alzheimer, et pour cause. Comme me l’a confié l’infirmière de l’hospice, des femmes âgées de 30 ans sont admises avec la maladie d’Alzheimer.

Le Dr. Blaylock et le Dr. Roberts vont rédiger un article sur la situation présentant quelques cas et le feront paraître sur Internet.

D’après la Conférence du Conseil des Médecins Américain : « Nous parlons d’un fléau de maladies neurologiques causé par ce poison mortel ».

Le Dr. Roberts a réalisé ce qui était en train de se passer lorsque l’aspartame a commencé à être commercialisée. Il a déclaré que ses patients diabétiques présentaient des pertes de mémoire, confusions, et de graves troubles visuels.

À la conférence du Conseil des Médecins Américain, les médecins admettent qu’ils ne savaient pas. Ils se sont interrogés au sujet de l’origine de certaines crises chez leurs patients (la phénylalanine de l’aspartame fait chuter le seuil des crises et la sérotonine, ce qui cause des maniaco-dépressions, des crises de panique, de rage, de violence).

Juste avant la conférence j’ai reçu un fax de Norvège qui demandait un antidote à ce poison car ils doivent faire face à tellement de problèmes dans leur pays. Ce « poison » est maintenant disponible dans plus de 90 pays à travers le monde. Heureusement, nous avions des porte-parole et des Ambassadeurs à la Conférence qui provenaient de diverses nations et qui ont promis leur aide.

Nous vous demandons votre aide à vous aussi. Imprimez cet article, et prévenez tous ceux que vous connaissez. Ramenez tout article contenant de l’aspartame au magasin. Procurez-vous le test « NO ASPARTAME » et faites-nous part de votre cas. L’A.A., l’A.P.A. et le Conseil des Médecins Américain ont été fondés.

( suite et fin...)dans l'autre qui suit!



Dernière édition par le Mer 27 Juil 2005, 16:36, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Informations sur l'asparthame   Informations sur l'asparthame EmptyMer 27 Juil 2005, 16:35

Suite...

Le New York Times a sorti, le 15 novembre, un article révélant comment l’ADA retire de l’argent de l’industrie alimentaire pour accréditer. Ils ne peuvent donc critiquer quelques additifs que ce soit ou parler de leur lien avec Monsanto. Quelle en est la gravité ?

Nous avons dit à une mère dont l’enfant consommait du « Nutra Sweet » d’arrêter ce produit. L’enfant avait des crises graves chaque jour. La mère appela son médecin qui appela l’ADA, qui dit au docteur de ne pas faire arrêter le « Nutra Sweet » à l’enfant. Nous essayons toujours de convaincre la mère que c’est l’aspartame qui cause les crises.

Chaque fois qu’on fait arrêter l’aspartame à quelqu’un, ses crises arrêtent. Si le bébé meurt, vous connaissez le fautif et savez contre quoi nous nous battons.

Il y a 92 symptômes prouvés de l’aspartame passant par le coma et allant jusqu’à la mort. La majeure partie d’entre eux, sont d’ordre neurologique, car l’aspartame détruit le système nerveux.

La maladie de l’aspartame est une des causes qui se cachent derrière les troubles de la santé apparus lors de l’opération « Tempête du désert » ! La langue brûlante et autres troubles observés dans 60 cas peuvent être directement liés à la consommation de l’aspartame. Plusieurs milliers de palette de boissons « light » ont été acheminées au troupes de l’opération « Tempête du désert » (souvenez-vous que la chaleur peut libérer le méthanol de l’aspartame à 86oF). Les canettes de boisson « light » ont séjourné sous les 120oF du soleil arabique pendant des semaines entières sur des palettes. Les hommes et les femmes en service en buvaient toute la journée. Tous les symptômes sont identiques à ceux de l’empoisonnement par l’aspartame.

Selon le Dr LE, pédiatre et professeur en génétique à l’université d’Emory, lors de son témoignage devant le Congrès : « La phénylalanine se concentre dans le placenta, faisant naître des attardés mentaux. Dans le test de labo originaux, les animaux développaient des tumeurs du cerveau, la phénylalanine se déclinant en DXP, un agent entraînant des tumeurs du cerveau ».

Quand le Dr. Espisto donnait sa conférence sur l’aspartame, un médecin de l’assistance, neurochirurgien déclara : « Quand ils retiraient des tumeurs du cerveau, ils y ont trouvé de forts taux d’aspartame. »

Le Stevia, est un aliment sucrant et non pas un additif. Il participe au métabolisme du sucre, et serait idéal pour les diabétiques. Le Stevia vient d’être approuvé comme supplément diététique par le Food and Drug Administration.

Pendant des années, la FDA a occulté cet aliment sucré au nom de sa loyauté envers Monsanto. Si vous voyez « Sugar Free » ou « Sans Sucre » sur l’étiquette, n’y pensez même pas!

Le sénateur H M a écrit une note, une mise en garde pour tous les nouveaux-nés, femmes enceintes et enfants contre l’aspartame. Cette note aurait permis d’instituer des études indépendantes sur les problèmes observés dans la population (crises, modification de la chimie du cerveau, modification des symptômes neurologiques et comportementaux ».

Cette note a été anéantie par le puissant lobby des médicaments et produits chimiques, laissant la porte grande ouverte aux maladies et à la mort dans un public non méfiant.

Après la Conférence de l’ACP, nous espérons obtenir le soutien de plusieurs lobbies puissants mondiaux. S’il vous plaît, aidez-nous, vous aussi. Il y a un nombre immense de personnes tout autour de nous qui doivent être averties, s’il vous plaît, informez-les.

Laurie Moser, assistant director
Women’s Cancer Resource Center
Centre Ressource du Cancer pour les femmes
1815, 41st Street East, suite C
Minneapolis, MN, USA, 554-3425
1-800-908-8544
L’auteure, Betty Martini peut être rejointe au 770-242-2599


QU’EST-CE QUE L’ASPARTAME


L’aspartame, vous connaissez ? Cet édulcorant est l’un des plus utilisés par l’industrie agroalimentaire. Il a été découvert en 1965 et mis sur le marché pour la première fois aux États-Unis en 1974. En France, il a été autorisé à partir de 1981. Or il a, dès son apparition, été accusé d’être dangereux pour la santé. Sclérose en plaques, crises d’épilepsie, tumeurs du cerveau… Qu’en est-il exactement ?

Parce que vous vous préoccupez de votre poids, vous pensez que les succédanés sont meilleurs que le sucre pour votre santé ? Grave erreur…

À première vue, c’est génial : se sucrer le bec sans subir l’inconvénients des calories ! Cependant, la liste des plaintes reliées à ce succédané du sucre ne cesse de s’allonger, particulièrement aux États-Unis, où on observe une importante consommation de produits « diète ». Pire, on sait maintenant que la consommation d’aspartame entraîne des effets secondaires allant du simple mal de tête à des tumeurs au cerveau…

En effet, les statistiques américaines provenant du National Cancer Institute révèlent une hausse alarmante du nombre de tumeurs au cerveau : en 1983, 2,1% des cancers chez les hommes se situaient au cerveau ; en 1987, l’incidence était passée à 8,1% pour ces messieurs, grimpant même à 11,7% chez les femmes !

En creusant la question, les chercheurs ont constaté que cette forte hausse coïncide justement avec l’apparition, en 1983, des boissons gazeuses édulcorées à l’aspartame. Le débat pour son retrait du marché n’a pas cessé depuis.


ADDITIF OU DROGUE

L’aspartame a été découvert par hasard en 1965 au laboratoire Searle, aux États-Unis, par un scientifique qui cherchait à mettre au point un médicament contre les ulcères. En goûtant une pincée de sa poudre, il se serait rendu compte qu’elle avait un goût étonnamment sucré. Cette découverte était une bénédiction pour l’industrie alimentaire, qui cherchait une solution de rechange aux cyclamates et à la saccharine, interdits dans les aliments par le gouvernement depuis que des études chez les animaux ont révélé qu’ils entraînaient des cancers.

Au Canada, ces deux édulcorants sont tout de même disponibles en sachets dans les épiceries, les pharmacies et restaurants. L’aspartame a été autorisé dans les aliments secs en 1981, puis dans les boissons gazeuses en 1983.

Commercialisé sous le nom de Nutra Sweet et d’Égal, l’aspartame est un édulcorant synthétique modifié génétiquement et composé de deux acides aminés (composants des protéines), la phénylalanine et l’acide aspartique. Son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé que celui du sucrose. Pourtant, le cheminement de l’aspartame laisse plutôt un goût amer dans la bouche. Il a même des allures de conspiration, puisque le Pentagone a déjà nommé l’aspartame dans un inventaire d’armes chimiques !

En fait, tant G.D. Searle, la compagnie de produits chimiques et pharmaceutiques mentionnée précédemment, que Monsanto, maintenant propriétaire et fabricant d’aspartame, ont des liens tangibles avec la fabrication d’armes chimiques…


DES ÉTUDES DOUTEUSES

C’est en 1974 que l’aspartame est approuvé pour la première fois. À la suite de deux études démontrant que cette substance cause des tumeurs chez les animaux de laboratoire, l’autorisation est abrogée. Ces études n’ont jamais été réfutées depuis. En septembre 1980, après délibération, un comité de la Food and Drug Administration (FDA) se prononce contre l’aspartame. Quatre mois plus tard, G.D. Searle soumet dix nouvelles études « bidons », qui feront pencher la balance du côté de l’aspartame par un vote : celui du commissaire Arthur Hayes… qui sera plus tard engagé par Searle ! Selon le Dr Adrian Gross, ancien toxicologiste de la FDA, ces études sont foutaise. Il a noté que des décès d’animaux ont été cachés, que des tumeurs n’ont pas été rapportées et, dans certains cas, qu’elles ont même été extraites de l’animal qui, lui, a été remis dans l’étude !

En 1996, le médecin et professeur Ralph G. Walton, du collège de médecine de la NorthEastern Ohio University, décide d’analyser l’ensemble des études scientifiques reliées à la consommation d’aspartame. Ses observations parlent d’elles-mêmes : parmi 174 études analysées, 74 étaient financées par l’industrie de l’aspartame, 100% d’entre elles concluaient qu’il n’y avait aucun problème avec ce produit ! Cependant, sur 90 études indépendantes (non financées), 83 (92%) ont plutôt relevé un ou plusieurs problèmes reliés à l’usage de cet édulcorant. L’aspartame est l’objet de controverse depuis son apparition ; même son approbation relève d’une décision plus politique que scientifique.

Mais avec des revenus se chiffrant dans les milliards de dollars par année, la compagnie Monsanto n’est pas prête de lâcher le morceau…


DES EFFETS SECONDAIRES TROUBLANTS

La liste des effets secondaires liés è la consommation d’aspartame est très longue. De plus, selon la revue Headhache de novembre 1997, des personnes particulièrement sensibles peuvent ressentir des effets avec de très faibles doses : une gomme à mâcher, par exemple, peut causer un mal de tête ! En 1994, la FDA avait déjà accumulé près de 7 000 plaintes d’effets secondaires reliés à l’aspartame (l’organisme ne veut d’ailleurs plus compiler les plaintes). Les plus fréquentes sont : maux de têtes (ce qui a été confirmé par plusieurs études), vertiges, vision embrouillée, changements d’humeur, douleurs au ventre et crampes musculaires. Aux États-Unis, des pilotes d’avion ont même perdu leur permis pour avoir manifesté ces symptômes dans les heures suivant l‘ingestion de boissons à l’aspartame. Des communiqués à cet effet ont d’ailleurs été émis dans les bulletins du U.S. Air Force et du U.S. Navy afin de prévenir le personnel de ce risque.

Parmi les autres symptômes figurent les dépressions, les pertes de mémoire, les douleurs aux jointures, les troubles menstruels, les crises d’épilepsie et même quelques décès ! Et il ne s’agit là que d’une fraction des effets actuellement associés à la consommation d’aspartame, puisque la majorité des gens n’ont pas encore fait le lien entre leurs problèmes de santé et ce produit. Même s’ils le font, seul un léger pourcentage des gens et des professionnels de la santé prendra le temps de le rapporter aux autorités gouvernementales.

En 1991, le National Institute of Health a publié une bibliographie, « Adverse Effects of Aspartame », énumérant pas moins de 167 raisons d’éviter l’aspartame.

Une étude récente a également démontré que l’aspartame, tout comme le sucre, entraîne une calciurie, c’est-à-dire une perte de calcium dans les urines.


ASPARTAME ET GAIN DE POIDS

Puisque l’aspartame contient le même nombre de calories que le sucre, mais que son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé, comment le pancréas réagit-il lorsque la langue le détecte ? Se pourrait-il qu’il envoie une dose massive d’insuline pour contrebalancer cette sensation trompeuse ? Est-ce que la chute de sucre qui en résulterait donnerait à nouveau le désir de manger ? Selon le neuroscientifique Richard Wurtman, la consommation de doses élevées d’édulcorants comme l’aspartame provoquerait effectivement des « crises » de sucre. L’American Cancer Society a confirmé cette ironie après avoir suivi 80 000 femmes durant six ans. Parmi celles qui ont pris du poids durant cette période, les femmes qui utilisaient des édulcorants artificiels en ont pris davantage que celles qui n’en consommaient pas.

Une autre étude effectuée chez un petit groupe de femmes à la diète démontre qu’elles ont tendance à manger davantage durant les jours qui suivent l’ingestion de boissons sucrées à l’aspartame, comparativement à l’ingestion de boisson sucrées naturellement (étude effectuée par J.H. Lavin et ses collaborateurs, parue en janvier 1997 dans une revue scientifique internationale sur l’obésité).

Même le simple fait de mâcher de la gomme sucrée à l’aspartame augmenterait l’appétit. Quelques autres études, toutefois, n’ont pu démontrer ces effets.

On suppose par ailleurs que les gens qui consomment des produits diètes auraient tendance à être moins vigilants : un faux sentiment de sécurité pourrait les porter à manger des gâteries, ici et là, puisqu’ils ont déjà « économisé »…

Dans toute controverse, une chose est sûre : les édulcorants comme l’aspartame entretiennent le goût du sucre et ne permettent pas de modifier ses habitudes alimentaires, seul gage d’une perte de poids durable.


DIABÉTIQUES, S’ABSTENIR

Selon le Dr H.J. Roberts, un endocrinologiste qui en a vu des « vertes et des pas mûres » avec l’aspartame, ce substitut de sucre compliquerait le contrôle de la glycémie chez les diabétiques, entraînant des crises plus fréquentes d’hypoglycémie et aggravant les complications diabétiques (cataractes, rétinopathies, neuropathies, etc.). De plus, chez un certain nombre de ses patients, on a incorrectement diagnostiqué qu’ils étaient atteints de sclérose en plaques ; les médecins dans l’erreur ignoraient que l’ingestion d’aspartame sur une base régulière entraîne des symptômes semblables.






QUOI FAIRE ?

Près de 2% de la population est porteuse, sans le savoir, d’un des deux gènes qui causent la phénylcétonurie. Or, l’aspartame contient de la phénylalanine, un acide aminé que ces personnes ne peuvent utiliser par manque d’une enzyme spécifique. Ces gens doivent éviter tous les produits qui en contiennent, dont l’aspartame, au risque de subir des crises d’épilepsie et des troubles mentaux sévères. Dans le doute, évitez de consommer de l’aspartame.

Si vous souffrez d’un problème de santé persistant et que vous utilisez des produits édulcorés à l’aspartame (boissons diète, gommes à mâcher, sachets, yogourts, etc.), cessez complètement d’en consommer durant un mois afin de savoir si vos symptômes diminuent.

Vous devez lire attentivement les étiquettes de tous les produits que vous achetez, car l’aspartame s’est infiltré un peu partout.

À mon avis, plus vous vous tiendrez loin de cet additif, mieux vous vous porterez.


OÙ SE CACHE-T-IL ?

En 1992, l’aspartame apparaissaient dans plus de 4 200 produits alimentaires aux Etats-Unis : certaines marques de crème glacée, yogourts, puddings, confitures, desserts préparés, céréales à déjeuner, vinaigrettes et dîners surgelés en contiennent. Les pires : les boissons gazeuses « diète », les sachets de sucre Égal et la gomme à mâcher sans sucre. Les médicaments peuvent aussi en contenir, de même que le psyllium sucré, « sans sucre » et les suppléments de vitamines croquables pour enfants. Surveillez les étiquettes.

L’aspartame est peu stable dans les liquides et se décompose après exposition à des températures élevées - ce qui se produit lorsqu’on fait chauffer l’aspartame, qu’on l’ajoute à des liquides chauds (café) ou lorsqu’il est entreposé durant de longues périodes à la température de la pièce.

La dégradation du produit entraîne, entre autres, la formation de méthanol, qui se décompose par la suite en formaldéhyde (carcinogène connu), en acide formique et en diketopiperazine (DKP), tous responsables de tumeurs au cerveau.


RESSOURCES

Plusieurs groupes de pression, dont Mission Possible International, tentent depuis plusieurs années de faire interdire l’aspartame, dont ils dénoncent la nocivité. Cet organisme possède un site Internet rempli de données et de témoignages de médecins et de victimes.

http://www.dorway.com/possible.html


Par Julie Brière
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